Christine & Bernard NICOLLET   Partagez notre Passion des Abeilles

Edito du: 08/11/2022

. Apiculture: Le but de notre site

A l'automne de notre vie...

Que le temps passe vite ! Combien de fois ai-je entendu ces paroles de nos anciens avant de les prononcer moi-même ? Il est donc grand temps pour Christine et moi d'arrêter cette course qui impose de mettre le nez dans le guidon, pour enfin prendre le temps...

• - Le temps de vivre plus pleinement notre passion des abeilles
• - Le temps de transmettre pendant que nous le pouvons encore, notre connaissance pour que votre apiculture tienne bon,
• - Le temps d'écrire, de recevoir, d'échanger, même en période de confinement,
• - Le temps de nous occuper enfin un peu de nous,
• - Le temps de rénover,
• - Le temps de prendre enfin le temps... pour VOUS !

Le temps de revivre avec notre passion des abeilles

Retraite ne veut pas dire pour autant "inactivité". Celles et ceux qui me connaissent en riront, c'est sûr !
Rassurez-vous, pour autant que Dieu nous prêtera vie, nous serons toujours là pour vous aider dans votre formation et ascenssion

L'apiculture de Loisir est fondamentalement différente de l'apiculture professionnelle !
Quand on exerce l'apiculture en professionnel, il est un impératif: celui d'être à minima à l'équilibre financier, voire au-delà si l'on veut subvenir aux années de vaches maigres. L'Apiculture Professionnelle n'a en effet aucune commune mesure avec l'apiculture de loisir. D'une part, la maîtrise et une profonde connaissance sont la base et la pierre angulaire du fondement de l'expérience, d'autre part, l'apiculteur pro ne travaille pas dans son jardin ce qui engendre des coûts prohibitifs de déplacements, d'investissements, et la recherche constante d'emplacements et de marchés commerciaux pour faire face aux importations outrancières de "miels bio" à des prix défiant toute concurrence et qui salissent le marché.

Bien que le pro soit également un apiculteur passionné de son travail, il ne dispose pas de temps suffisant pour faire autre-chose !
C'est pourquoi, libéré de mes obligations professionnelles, je peux enfin me consacrer totalement ) ma passion: Former de nouveaux Bergers des Abeilles^®

Donnez du sens à votre apiculture

Une certaine marginalité revendiquée

Qu'est-ce qui n'est pas critiquable de nos jours ?
Dès lorsqu'un pro ne rentre plus dans le moule... les réseaux sociaux s'empressent de lui régler son compte ! Depuis 20 ans maintenant, tout ce que j'ai créé a été mis à la disposition du public apicole afin que cela serve la communauté. J'aurais pu déposer des brevets comme l'ont fait avant moi les Révérends Langstroth et Charles Dadant... ou bien encore, exploiter à moi seul mes trouvailles et profiter en solo.... Tel n'a pas été mon choix alors que je suis l'auteur de multiples brevets dans mon passé industriel qui a précédé mon entrée en Apiculture.
Je suis avant tout un passionné qui travaille quotidiennement de longues journées dans ses ruchers dès le départ de la saison jusqu'au 10 octobre date après laquelle, je m'interdis d'ouvrir la moindre colonie d'abeilles

En quoi suis-je consdéré comme un "Marginal" ?
Tout D'abord, en temps que créateur du "Cadre à jambage". Ce cadre, bien que doté d'une très fine bande amorce de cire, permet de ne plus recourir aux cires gaufrées.
Pionnier de la formation en apiculture, j'ai très vite compris qu'il était important de diffuser la connaissance, à total contre-courant des pros qui souhaitent garder jalousement leurs secrets de Polichinelle.
Enfin, ma vision d'un retour à la défense de notre abeille endémique (ce dont j'ai parlé en début de page),n'est pas faite pour plaire à tout le monde, surtout chez les utilisateurs d'abeilles alloctones et exogènes comme la Buckfast, la Carnica ou la ligustica quand ce ne sont pas des hybrides importés des Balkans, de Grèce ou d'ailleurs.

Partisan d'une rémunération équitable pour mon travail, le prix de mon miel ou de mes essaims est très nettement au-dessus des prix de marché pratiqués par les apiculteurs de loisir dont la rentabilité d'exploitation est très en-dessous d'un prix naturel de revient puisqu'il s'agit pour eux d'un loisir et non d'un métier-passion, plombé par des charges sociales, impôts et coûts réels d'exploitation.

Moi, Bernard NICOLLET... QUI et QUE suis-je ?

Transmettre une connaissance, c'est expliquer en donnant une valeur à notre explication. Non pas d'expliquer en interdisant de comprendre par l'auto-expérience, mais permettre au lecteur d'obtenir une boussole. S'il doit être salutaire pour les abeilles d'être conduites vers le Nord alors que volontairement, leur berger emprunte un chemin allant vers le Sud, libre à lui. L'explication donnée à un moment de son existence, non pas qu'elle fût mauvaise, lui permettra alors de faire marche arrière pour emprunter cette fois la bonne voie à suivre. Dans le cas contraire, il risque fort de connaître l'envoi de ses ruches au sanctuaire des abeilles. En apiculture, c'est comme dans la vie... Nous avons des choix à faire, mais des choix qui seront lourds de conséquences non seulement pour les abeilles tout autant que pour nous, mais surtout pour les générations à venir.
Cela ne concerne pas qu'uniquement le milieu professionnel, Tous les apiculteurs y compris débutants doivent agir maintenant !

Il y a une bonne quinzaine d'années, j'ai reçu des lettres d'insultes parce que j'ouvrais la voie de la connaissance. En résumé, il ne fallait pas donner ce que certains avaient mis des années à découvrir. Sur les forums naissants et incapables de faire respecter "le respect", la jalousie exacerbée de plus d'un "jesaistout" ou de "yaka" s'est déchaînée dans des propos non vérifiés et surtout insensés.
Toute critique est constructive et en totale opposition avec l'idiote jalousie épidermique.
Aujourd'hui, contrairement à ma petite personne de "Berger des Abeilles", ces virulents ne sont plus là, alors que vous êtes près de 3000 par jour en moyenne, dans la francophonie, à franchir la porte de la connaissance que je donne sur mon site internet, ce dont je vous remercie. Plus de 2000 personnes ont participé à mes stages de formation. Je ne prétends pas être au-dessus de la mêlée, je reste à ma place, sans me prendre pour un 'cador de l'apiculture" prétendant tout expliquer via des chaînes vidéos en tous genres.
Sur Internet, il y a à boire et à manger (surtout avec les vidéos publiées à la va-vite), mais c'est un peu comme dans la grande distribution... on va au drive pour gagner du temps..
En continuité à cela, la réflexion tend à disparaître au profit de la rapidité de réponse offerte par le smartphone. Rien d'étonnant que nous atteignions un taux de mortalité des cheptels de plus de 60% en France !

Pour une Apiculture qui ait du sens...

Ce site comprend plus de 500 pages parmi lesquelles vous trouverez je l'espère une réponse à votre (vos) interrogation(s). Si ce n'est pas le cas, vous pourrez toujours me contacter afin de m'exposer votre problématique.
On peut être d'accord ou pas avec mes écrits, c'est le droit de chacun et je le respecte. Je n'ai pas la prétention d'avoir inventé l'apiculture, mais depuis une petite vingtaine d'années, je conduis un cheptel de plus de 400 colonies d'abeilles et suis devenu par passion, un éleveur d'abeilles, un "Berger des Abeilles".

En apiculture c'est comme en agriculture... quand vous voyez des vaches dans un prés, vous ne voyez que des vaches. Mais savez-vous identifier le métier de l'agriculteur ? Sont-ce des vaches laitières ou des vaches pour la viande ? Ce sont pourtant deux métiers bien différents
En apiculture, c'est un peu la même chose. Il y a l'éleveur d'abeilles (celui qui vit de la vente de ses essaims), et le producteur de miel, sachant que ces 2 métiers sont également différents. Ce que beaucoup ignorent en se lançant en apiculture, est que pour produire du miel, il faut commencer par savoir élever des abeilles et non pas se contenter d'en acheter !
Je fais de mon mieux pour que mon apiculture sédentaire soit respectueuse de mes abeilles, et je lutte au quotidien pour préserver le trésor hérité de la Création en mettant tout en oeuvre pour sauvegarder non pas n'importe quel type d'abeille, mais notre abeille native et endémique, seul véritable enjeu pour les générations à venir.
Trois fois je suis tombé... trois fois je me suis relevé grâce au soutien de Christine, mon épouse et compagne depuis 45 ans. Tandis que beaucoup auraient ou ont déjà jeté l'éponge, nous sommes toujours là et mettons notre expérience à votre entière disposition car trop nombreuses sont les difficultés pour maintenir nos abeilles en vie (Merci Monsanto et autres firmes de l'industrie agro-chimique).
Alors bien entendu, je comprends que mes propos hérissent l'échine ou fassent grincer les dents de quelques uns, notamment chez les utilisateurs d'abeilles Buckfast, de carnica ou autres espèces martiennes, mais si personne ne prend conscience de cet enjeu, alors nos petits enfants n'auront plus qu'à utiliser des mini-drônes pour polliniser les fleurs en nous accusant de n'avoir pas su rester sur la voie de la sagesse.
Comme je vais l'expliquer sur ce site, Si vouloir s'occuper d'abeilles peut être une excellente idée, il devient URGENT de comprendre que certaines variétés d'abeilles portent un lourd préjudice dans la disparition de notre abeille native: Apis Mellifera Mellifera dite "Abeille Noire".

Le Glas de l'apiculture ?

Les abeilles sont très malmenées partout sur la planète. La disparition de plusieurs sous-espèces d'abeilles est déjà bien amorcée dont notamment, notre abeille endémique, dite abeille noire (Apis Mellifera Mellifera).
L'ignorance des apiculteurs en général ou la folie de la part de ceux qui ferment les yeux, bien que très souvent en opposition avec un monde productiviste, poursuivent en fait un chemin cupide tout autant qu'égoïste, en acquérant des abeilles allochtones ou exogènes (abeilles non endémiques) ce qui est un plus grand désastre encore comparativement aux pesticides du monde agricole.
Pourquoi les scientifiques ne tirent-ils pas la sonnette d'alarme dans ce sens ? Pourquoi les autorités n'interviennent-elles pas ? En fait, beaucoup ferment les yeux pensant peut-être qu'il y a plus urgent... (quand ce n'est pas plus sévèrement une question d'interêts financiers)

D'autre part, la main de l'homme étant quasiment omniprésente dans les ruchers (nourrissements, productions de reines, traitements en tous genres, nourrissements hivernaux, interventions inadaptées etc. etc.), faut-il s'étonner de voir s'effondrer les colonies ?
Et je ne parle pas des chaines vidéos Youtube parmi lesquelles trop ne sont intéressantes que pour leurs auteurs et apiculteurs ignorants qui prendront cela comme paroles d'évangiles.

Alors que la mortalité des abeilles verra en premier lieu pointer du doigt l'agriculture, j'engage le monde apicole à balayer devant sa propre porte, car le non respect des éléments naturels suffit à le conduire à sa propre perte. Bien sûr, un apiculteur de loisir ne mourra pas de sa perte de quelques colonies. Il s'empressera de regarnir ses ruches car pour lui, ce n'est pas un enjeu vital à son niveau. Sauf que si 60.000 apiculteurs de loisir en France réagissent de la même manière (ce qui s'approche d'être le cas), ce n'est plus la branche qui est sciée, mais l'arbre tout entier !
C'est pourquoi, mon combat depuis une petite vingtaine d'années, puisse-t-il devenir le vôtre... C'est sincèrement mon voeux le plus cher !

Mon site internet ?

Ce site internet est avant tout rédigé dans le but de donner de l'information aux apiculteurs (et futurs), tout en me donnant la possibilité d'exister en proposant mes produits et services comme ma petite production d'essaims d'abeilles noires, mes livres et DVD et mon service de Formation en apiculture destinée à vous transmettre la connaissance pratique.
A une heure où les réseaux sociaux construisent dans le virtuel ou le négatif, tirant vers le bas tout ce qui a du sens, celles et ceux qui me connaissent et qui ont pris le temps de venir me rencontrer vous expliqueront eux, tout l'inverse. Il y a 15 ans, quand j'ai présenté mon cadre à jambage, les moqueries étaient nombreuses on me prenait pour un Martien et on me tournait en dérision sur les forums avides de sujets polémiques apicoles. Aujourd'hui, le cadre à jambage est utilisé bien au-delà de nos frontières alors qu'il est à peine "découvert" en France comme une alternative aux cires gaufrées polluées de résidus chimiques de traitements anti-varroa et antibiotiques. Comme quoi, la majorité des apiculteurs est encore loin d'avoir pleinement mesuré les énormes autres avantages. Mais comme disait Père-Grand en patois lyonnais : "à Châ peu..."

Clin d'oeil: Qu'en sera-t-il quand les apiculteurs découvriront ma haussette Bernard" et son excellente alternative pour produire des miels sains dans le respect absolu de nos abeilles ?

Ce site web est donc surtout, le moyen de présenter mon engagement pour mon métier passion d'apiculteur éleveur , spécialisé dans l'élevage d'une abeille native de terroir, celle que l'on nomme Apis Mellifera Mellifera dite encore "Abeille noire". La production de miel n'est pas mon but puisque je suis avant tout, un éleveur d'abeilles.
Voici une quinzaine d'années, j'ai lancé la commercialisation de mon miel en rayon, tandis que les apiculteurs me traitaient de "fou" de me séparer de mes rayons. Ils n'avaient pas compris l'enjeu non mercantile que cela représentait. Le prix du miel est vendu en France bien en-dessous (très loin) du prix de revient de l'apiculteur, par la seule faute non pas d'une concurrence étrangère, mais initié par une apiculture de loisir dont la rentabilité n'est malheureusement pas le sujet, et qui, se calant sur le prix de marché de l'Inter ou de Lidl du coin, casse le bon travail de l'apiculteur pluriactif ou professionnel, plombé par les charges sociales et coûts prohibitifs d'exploitation. Dans un cercle donc non vertueux, les miels sont donc la plupart du temps coupés avec d'autres (importation) afin de maintenir les marges obligatoires à la survie de l'entreprise.
In fine, tout bien pesé, le miel chinois n'est-il pas en avance sur le "miel" qui sera produit localement en France dans les prochaines années ? C'est le consommateur guidé par son porte-monnaie qui fera pencher la balance

Produire un miel d'exception a un prix mais...

Les années où la biodiversité de nos montagnes donne à mes abeilles une abondante récolte, je provisionne mes stocks pour leur redonner les années de carence, et ne prélève qu'à peine 10% à 20% de cet excédent que je mets à la disposition de ma clientèle sous forme de miel en rayon ou de miel pressé car cela n'a rien à voir avec le miel conventionnel sortant de l'extracteur puis mis en pots, je vous laisse le soin de le découvrir ici !
J'ai revendu tout mon matériel de miellerie (matériel à désoperculer, extracteur, maturateurs etc. etc.) pour ne plus proposer à ma clientèle que le meilleur miel, un miel tel qu'il sort de la ruche avant toutes ces manipulations dont beaucoup sont douteuses de nos jours. Je ne suis donc pas un vendeur de miels de grandes surfaces, mais réserve ce produit d'exception exclusivement à une clientèle de connaisseurs ou en tous les cas, un public désireux de s'offrir les meilleurs produits, sains et naturels.
C'est pourquoi, si vous passez par ma boutique en ligne pour acheter un prix, ne perdez pas votre temps ! Notre miel n'a rien à voir avec les produits contrefaits, importés ou coupés et insipides de la grande distribution à des prix défiants toute concurrence. Pour vivre de mon métier passion, je refuse la pratique de nourrissements spéculatifs tout autant que des coupages et c'est pourquoi je ne peux pas en faire don.
Vous recherchez un miel authentique, comme il se faisait autrefois ? C'est à dire un miel non chauffé, non pasteurisé, un miel qui soit le plus naturel que possible ? Vous êtes à une bonne adresse pour trouver ce "miel pur produit de notre terroir" que vous recherchiez depuis longtemps. N'en déplaise aux apiculteurs parisiens qui voudraient faire croire un peu trop vite, que leur miel de ville serait plus pur que le miel des montagnes (en revanche, ils connaissent bien le marketing, je le concède).
Bon nombre de petits apiculteurs font également de leur mieux pour produire des miels de qualité. Cependant, pour moi en tous cas, la vraie qualité passe par le respect de la race endémique. A quoi servirait-il de se gausser de produire un bon miel si on ne respecte pas l'abeille de terroir en lui préférant des abeilles hybrides ou d'importation ?

Appel à conscience pour une abeille en danger d'extinction

Comme je vais le marteler sur ce site, notre abeille endémique (abeille noire), n'est pas en danger de disparition: elle est en voie d'extinction définitive ! C'est pourquoi il est de mon devoir de ne pas passer ce fait sous silence surtout auprès d'une clientèle qui vise à se lancer dans ce merveilleux loisir qu'est l'Apiculture ou qui souhaiterait en faire une activité rémunératrice. Quelque soit votre objectif, je vous supplie d'une et seule chose: Ne vous lancez pas sans faire un geste pour la sauvegarde de notre espèce native (ou endémique) car ainsi, vous donnerez réellement un sens à votre Apiculture. Ne succombez pas à la facilité qui consiste à acheter de l'abeille "Buckfast" (dite aussi "Frère Adan"), ou bien des abeilles produites sur des territoires européens certes, mais dont le climat est plus chaud et plus doux, permettant aux éleveurs et marchands de débuter la saison avant même que les notres ne sortent de leur hivernage. Que ce soit dit: Ceci est un véritable fléau pour notre apiculture naturelle, et in fine, un bien triste mirroir aux alouettes.

Ne succombez pas aux promotions ou aux disponibilités un peu trop faciles d'abeilles produites à l'étranger (ou même en France) et qui engraissent "un système marchand" au détriment des espèces endémiques. Ce n'est pas parce que votre voisin a des abeilles Buckfast, de la Carnica, de Grèce, des Balkans, du Caucase ou d'ailleurs que vous devriez suivre ce chemin. Avoir un minimum de respect pour la Nature commence ici.
Ne succombez pas aux discours qui tentent à justifier le maintien de ces abeilles parce qu'elles seraient notamment plus douces, plus productives plus... plus... L'herbe n'est-elle toujours pas plus verte ailleurs ? Gare aux retours de bâtons avec des taux élevés de pertes, de maladies et de difficultés à maintenir
Tous les éleveurs d'abeilles noires de France vous le diront: l'abeille noire est une abeille douce. Seuls ceux qui ne savent pas s'en occuper vociféreront le contraire.
Avant de vous lancer en apiculture, réfléchissez à l'importance de votre geste. Donnez un sens à votre vie, donnez un sens à votre apiculture. Si ce n'est pas pour vous, ce geste sauvera l'apiculture de nos enfants, petits-enfants et des générations à venir.

Car: Comment parler d'écologie, comment affirmer que l'on aime et respecte la nature si notre propre apiculture pose un sérieux problème de disparition de l'espèce endémique à cause des hybridations que provoqueront nos mâles non endémiques en fécondant les jeunes reines endémiques ? Réfléchissez, méditez, Tendez l'oreille sur ce qu'on appelle de nos jours "l'Effondrement des colonies". Certes, il y a les pesticides mais nous.... comment nous efforçons-nous de respecter cette nature nourricière ?

. Une Apiculture de plaisir et de passion avant tout

Quoi de plus merveilleux que se lancer dans ce monde fascinant des abeilles en souhaitant apporter votre contribution à sa sauvegarde ? Vous prendrez vraiment plaisir à pratiquer une Apiculture Naturelle car les abeilles vous rendront au centuple l'attention et les soins que vous leur apporterez. Vous n'avez pas encore débuté ? Alors je vous remercie pour la confiance que vous me témoignerez en inscrivant ce site dans la mémoire de votre ordinateur afin de revenir sur la multitude d'articles que je vous dédie.

Mes écrits, il est vrai, sont sans complaisance et sont parfois jugés "engagés" mais ils reflètent très exactement ce que je pense mais pas seulement: ils sont le reflet de ma vie avec les abeilles et la passion que je leur voue depuis mes débuts. Je comprends le fait que certains ne soient pas "compatissants" avec ma façon de vivre et d'enseigner mon Apiculture, car la plupart du temps, ils se sentent visés par les pratiques trop interventionnistes de la main de l'homme, mais si personne ne le montre, doit-on s'étonner de constater une fragilité et une sur-mortalité des abeilles, en aval d'une agriculture déjà suffiamment tueuse d'abeilles ?

SVP, prenez le temps de lire la page suivante...